En tant qu’organisme, nous sommes déterminés à adopter des pratiques de recherche qui reflètent notre engagement envers la réconciliation et le respect de la souveraineté autochtones. Nous ancrons notre travail dans l’avancement des recommandations de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, et nous reconnaissons que les systèmes de connaissances autochtones doivent être une pierre angulaire des politiques climatiques au pays.
Mesures prises
- Représentation autochtone au sein du conseil d’administration, des comités d’experts et du conseil consultatif.
- Ouverture d’un poste de direction de la recherche autochtone et adoption de pratiques de recrutement visant à accroître la proportion de candidats autochtones.
- Création d’une politique de congés culturels pour le personnel autochtone souhaitant pratiquer des activités traditionnelles (chasse, pêche, récolte) ou assister à des événements cérémonieux, culturels ou spirituels.
- Renforcement de la capacité interne au moyen d’un programme de formation et de perfectionnement initial d’un an sur l’histoire, les droits, la recherche, la mobilisation et le leadership climatique autochtones ainsi que sur les façons d’être un bon allié.
- Congé payé pour la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation afin d’encourager la réflexion et la participation à des événements honorant les peuples autochtones.
- Définition de la mobilisation et de l’autodétermination autochtones comme des priorités stratégiques de l’Institut climatique.
- Tenue d’ateliers avec l’équipe de direction sur les concepts centraux des méthodes autochtones et de la décolonisation de la recherche ainsi que sur les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation et la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
- Création de protocoles pour encadrer les primes et assurer le soutien d’organisations autochtones, la justice et l’équité dans les décisions d’approvisionnement.
- Élaboration et adoption d’une déclaration de justice et d’équité comprenant un engagement envers la réconciliation et mise en place d’un cadre d’analyse d’équité de la recherche.
- Établissement d’un processus d’évaluation par les pairs autochtones pour l’ensemble des rapports allant au-delà du simple « ne pas causer de tort » et appliquant les quatre grands principes de la recherche autochtone : le respect, la pertinence, la réciprocité et la responsabilité.
Travail en cours
- Représentation autochtone au sein du conseil d’administration, des comités d’experts et du conseil consultatif.
- Ouverture d’un poste de direction de la recherche autochtone et adoption de pratiques de recrutement visant à accroître la proportion de candidats autochtones.
- Création d’une politique de congés culturels pour le personnel autochtone souhaitant pratiquer des activités traditionnelles (chasse, pêche, récolte) ou assister à des événements cérémonieux, culturels ou spirituels.
- Renforcement de la capacité interne au moyen d’un programme de formation et de perfectionnement initial d’un an sur l’histoire, les droits, la recherche, la mobilisation et le leadership climatique autochtones ainsi que sur les façons d’être un bon allié.
- Congé payé pour la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation afin d’encourager la réflexion et la participation à des événements honorant les peuples autochtones.
- Définition de la mobilisation et de l’autodétermination autochtones comme des priorités stratégiques de l’Institut climatique.
- Tenue d’ateliers avec l’équipe de direction sur les concepts centraux des méthodes autochtones et de la décolonisation de la recherche ainsi que sur les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation et la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
- Création de protocoles pour encadrer les primes et assurer le soutien d’organisations autochtones, la justice et l’équité dans les décisions d’approvisionnement.
- Élaboration et adoption d’une déclaration de justice et d’équité comprenant un engagement envers la réconciliation et mise en place d’un cadre d’analyse d’équité de la recherche.
- Établissement d’un processus d’évaluation par les pairs autochtones pour l’ensemble des rapports allant au-delà du simple « ne pas causer de tort » et appliquant les quatre grands principes de la recherche autochtone : le respect, la pertinence, la réciprocité et la responsabilité.
- Adoption de lignes directrices tenant compte des traumatismes pour l’emploi de photos d’Autochtones dans les publications et engagement à traduire le contenu dans des langues autochtones lorsque possible, comme le suggère un important appel à l’action de la Commission de vérité et réconciliation.
- Collaboration avec une organisation autochtone sur un sondage et une analyse environnementale visant à cerner les grandes priorités autochtones en matière de politiques climatiques pour orienter les approches de recherche et de mobilisation.
- Lancement d’un programme climatique d’études de cas autochtones pour amplifier la recherche autochtone sur les répercussions des changements climatiques et les politiques connexes et pour faire briller le leadership climatique autochtone au pays.
- Partenariats de recherche avec des organisations autochtones, en reconnaissance des droits des peuples autochtones, de leur vulnérabilité particulière face aux changements climatiques au Canada, et de leur fort leadership dans les initiatives d’énergie propre, les stratégies d’adaptation, les programmes communautaires et la recherche.
Travail en cours
- Création de nouveaux volets de recherche autochtone pour favoriser les partenariats avec des organisations autochtones, faire avancer les priorités de la recherche autochtone qui correspondent au mandat de l’Institut climatique et amplifier la recherche climatique autochtone.
- Amélioration de la représentation autochtone au sein du personnel, du conseil d’administration, des comités d’experts et du conseil consultatif.
- Définition de compétences et de normes autochtones officielles à l’échelle de l’organisation, et formation et perfectionnement du personnel pour assurer l’application des pratiques exemplaires au travail.