
Maria Shallard
Maria a grandi sur le territoire de Líl̓wat à Pemberton (Mount Currie), en Colombie-Britannique. Sa famille est composée de colons européens, et elle a des liens ancestraux avec Penelakut par l’intermédiaire de son grand-père. Maria aborde ce travail en sachant qu’apprendre et désapprendre prendront toute une vie. Elle s’efforce de soutenir les processus qui renforcent le leadership autochtone et favorisent les changements qui soutiennent la souveraineté autochtone de manière positive.
Maria a plus de dix ans d’expérience professionnelle dans les domaines de la programmation, de l’engagement, de la gestion de projets, des ressources humaines, de l’évaluation et de la communication, en faveur de l’autodétermination, de la justice, de l’équité et de l’inclusion des populations autochtones. En tant que conseillère principale, elle s’efforce de créer, de soutenir et de diriger davantage d’opportunités pour la recherche sur le climat menée par les autochtones. Elle se concentre actuellement sur l’énergie propre, mais ses travaux antérieurs pour la fonction publique de la Colombie-Britannique, des organisations autochtones et des établissements d’enseignement postsecondaire comprenaient l’autonomisation des jeunes, la recherche sur la santé et le bien-être, la résilience socio-écologique, ainsi que des programmes d’éducation et d’aménagement du territoire.
Maria est titulaire d’une maîtrise en géographie de l’université de Guelph. Ses études ont porté sur la gouvernance des océans, la gestion des ressources et l’autodétermination autochtone, dans le cadre du réseau Hakai pour les populations côtières, les écosystèmes et la gestion. Elle est titulaire d’une licence en arts de l’université de Victoria, avec une double spécialisation en études environnementales et en histoire du Canada, ainsi qu’une mineure en études autochtones. Elle se passionne pour la justice en matière d’alimentation et de handicap, la sécurité de l’eau et la mise en place d’une politique climatique saine qui favorise le bien-être collectif des générations futures. Pendant son temps libre, elle participe activement à la restauration, à la conservation des semences et à la revitalisation des espèces. Elle est souvent sur la terre et dans l’eau, reconnaissante de vivre sur le territoire non cédé des K’ómoks.